Conseils utiles
Le bouche à oreille (de vos amis, proches ou collègues qui ont déjà eu affaire à un avocat et qui, s’ils en sont contents, vous le recommandent) est sans doute le moyen le plus répandu et peut-être l'un des moins mauvais.
Avant tout, il convient de vous poser les bonnes questions : domaine de compétence, degré d’expertise, nécessité ou non d'une proximité géographique, degré de disponibilité que vous attendez de la part de votre Conseil…
Après avoir effectué un premier choix, prendre un rendez-vous, que ce soit par téléphone – en raison de la distance ou par réel manque de temps – ou au cabinet, est précieux.
Il est en effet essentiel d’avoir une relation de confiance et agréable avec son avocat.
Pour être bien défendu, il est nécessaire de pouvoir expliquer l’ensemble des tenants et aboutissants de votre affaire. Par voie de conséquence, il est impératif d’être à l’aise avec votre avocat.
Lors de cet entretien il vous appartient de solliciter des informations précises sur les conditions de traitement de votre dossier ainsi que sur les honoraires pratiqués.
In fine, il vous reviendra de croiser les informations, également en consultant les sites Internet ou les blogs des cabinets, avant de vous déterminer.
Enfin, si vous disposez d’une assurance protection juridique (assurance qui couvre certains litiges et contentieux), la mise en jeu de ce contrat ne vous empêche pas de choisir l’avocat que vous souhaitez.
En tout état de cause, sachez que si votre avocat ne vous donne pas satisfaction, il vous est loisible d'en changer.
La décision de quitter le foyer conjugal s’avère, dans des situations dites «de crise», absolument nécessaire afin de préserver un certain équilibre psychologique.
Lorsque le conjoint devient violent verbalement ou physiquement, ou psychiquement dangereux, l’abandon du domicile apparaît comme la meilleure solution.
Si vous êtes amené à choisir cette option, nous vous conseillons : En cas d’abandon du foyer pour violences : - N’hésitez pas à déposer plainte au Commissariat de Police ou à la Brigade de gendarmerie la plus proche après avoir fait constater vos blessures par un médecin.
- En l’absence de lésion médicalement constatable n’hésitez pas à consulter néanmoins votre médecin traitant afin d'établir un certificat médical.
- Consultez rapidement un Avocat aux fins d’engager une procédure devant le Juge aux affaires familiales. Hors les cas de violences : L’abandon du domicile conjugal reste toujours constitutif, au regard de l’article 242 du Code Civil, d’une faute dans les obligations du mariage. Pensez, dans la mesure du possible, à rédiger un courrier commun avec votre conjoint aux termes duquel vous convenez d’une séparation physique sans conséquence juridique pour la suite.
La prestation compensatoire, versée sous forme de capital ou de rente mensuelle, va permettre d’atténuer, autant que faire se peut, les différences entre les niveaux de vie respectifs de chacun des époux après le divorce.
La pension alimentaire jouera quant à elle le rôle d’une aide mensuelle visant à accompagner celui des deux parents en charge de l’éducation et de la garde des enfants.
La prestation compensatoire et la pension alimentaire peuvent naturellement se cumuler.
Les montants de la prestation compensatoire et de la pension alimentaire dépendent, pour chacune d’entre elle, de plusieurs critères légaux. Le calcul s’effectue toujours au cas par cas, même si le Ministère de la Justice tend à établir des barèmes indicatifs destinés à harmoniser les chiffrages entre les différentes juridictions.
SAGGIO-CHARRET
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